A la recherche d"un exil

Charlie

Hj- Pour ne pas vous troubler, je vais vous dire mon code: narration, *pensée* "paroles" merci!-Hj

Il faisait chaud, terriblement chaud... La chaleur avait depuis longtemps tuée la vie de ce désert. Le sol déchirait les pieds, et le ciel s"abattait sur le crâne comme un couperet. Dans ces plaines désertiques survint une cantate, un souffle, une respiration, qui troublait la paisible mort du désert. Un mouton, Un bélier. Il avançait sifflotant, comme un jouet pour enfant, tendu comme un i, n"articulant pas ses coudes et genoux. Il avançait tout droit, ne déviant pas, sifflant les yeux pétillant de vie. Charlie. Il se faisait appeler Charlie. Il sifflotait des airs de montagne, et se remémorait ses parties de saute mouton avec la brebis du coin.

Quand, tout à fait part hasard, il stoppa sa marche. S"étira. Prit un joint dans sa veste et se l"alluma...

*MMh de l"herbe grasse.... Ma préférée.... Bon... ça manque de musique... Guitare!*

Il prit sa guitare, l"accorda, et vit une à une ses cordes sauter, sous le coup de la chaleur... Il en remonta un jeu et regarda le Soleil... Jurant dans un patois méconnaissable. Il passa son écharpe en Turban, et, reprenant sa route prit son bâton, qui faisait un bruit de cloche à chacun de ses pas. Ce bruit doux et mélodieux résonnait dans le torse du berger comme le chant nostalgique de la douce enfance... Elle le guidait.... et le guidait tout droit!

Elle s'écrasa, mordant la poussière à pleine dent, elle semblait inerte, allonger de tout son long, sortit de nul part. Mais que ce passait-il? Quelques instants plutôt la peur l'avait saisit pour la première fois e toute son existence, ne sachant pas canalisé. une émotion aussi forte, l'objet qu'elle était, en proie à la panique avait mal contrôler son saut dimensionnel et c'était retrouver ici, le visage dans la poussière, sur une des terres les plus inhospitalière possible de Scorched. Nusiliteh semblait sonné, le sang sécher sur sa tempe était une preuve de sa blessure à la tête, peu visible sous cette tignasse rousse. Un moment passa avant que ses esprit lui revient, confuse, et toujours aussi torturé par la force de ce sentiment néfaste, elle ce releva d'un bond, tenant son magnum de sa main droite, tremblotante et cherchant des yeux un ennemi possible, le regard agars.

Le paysage devant-elle, la scène ayant changé complètement, ne ce trouvant plus en face des deux dracoliches, pourtant son cerveau ne semblait pas avoir assimiler encore l'information capital du ''danger disparus'' et la femme aux yeux bleu continuait de pointé son arme sur tout et n'importe quoi, comme si des fantôme ce tenaient devant-elle au moment précis.

Devenait-elle folle? peut-être...
essayer d'apprendre le concept de peur à une ''chose'' n'étant pas censé ressentir quoi que ce soit...

Hj-Merci ^^ ça fait du bien! -Hj

Charlie

Le sol était brûlant et le ciel lourd. Le soleil pesaant, et le sable brûlait sa peau. Il pensait paisiblement au son de sa cloche. Elle le berçait dans son voyage pour un endroit de verdure où il pourrait manger. Il avait un peu soif, mais il n"y pensait pas. Ses douces pensées furent brûlée par la chute d"une fureur. Elle s"écrasa quelque mètres au devant. Charlie observa la créature. Ses cheveux roux sauvages tombait sur son visage tiré par la peur. Charlie s"asseyait, son bâton sur l"épaule. Il fuma sa cigarette observant la jolie rousse. Il prit de multiples herbes et en fit une purée qu"il mit dans un sachet pour soigner une éventuelle blessure. Il observait en silence, sentait la peu dans ses gestes et actions, comme une brebis apeurée.

hj: mais de rien

Nusiliteh perdait le sens de la raison, les cheveux en pagailles cachaient son champ de vision par moment, si bien qu'elle fusillait ce qui était hors de sa vue par précaution, son coeur battait a ton rompre, le sang battait ses tempes, si bien que la seule chose qu'elle entendait était les propres battements de son coeur affolé. Mais qu'est-ce qui avait pu tan effrayé un objet? Le doute...

Le doute, car tel une machine, ses actions avaient toujours été précises, sans retard, sans laps de temps déplaisant, elle agissait de façon net, sec et précise! Mais ses facultés semblaient flanché contre sa volonté. « Non! c’est impossible...je je ne peux pas argggg!!! » lachant son magnum, elle ce pris la tete entre les mains, enfouissant ses doigt, tel des serres dans sa tignasse orangé, tombant a genoux.

Son était désespéré aurait put etre beaucoup plus long si cela n'aurait été que du chaton, qui doucement sortit de sa besace et sans préambule, émis un miaulement, signalant sa présence, et alla ce frotter sur l'étranger, qui était surement apte a le caresser. Le bruit caractéristique de l'animal sembla ramener temporairement à la raison la femme, qui releva sèchement son visage vers l'endroit où était parti Furrye, les yeux écarquillés de béatitude.

- saleté de chat...

ces quelques mots franchirent ses lèvres, rapidement, sans hésitation, mais prononcer de facon douce, tel une pere ce plaignant de sa progeniture un peu trop exhubérante. Les yeux azuré de Nusiliteh plongea dans le regard de l'inconnu, puis commencant un mouvement de sa main, qu'elle ne termina pas, la laissant tendu, elle dit presque dans un murmure.

- .... fais gaffe... ou je...

ses épaules s’affaissèrent, c'était la première fois, et toute une première! que Nusi, ne trouvait pas les mots.

Charlie

Charlie vit la demoiselle tourner sur elle même dans une danse folle, tirer dans tout les sens, au dessus du mouton par chance, et s"arrêter se prendre la tête entre les mains. Le berger savait que c"était une crise d"angoisse. Il fallait soit lui mettre une baffe, soit que quelque chose la ramène. Cette chose fut un petit chat. Pas encore adulte, un bébé, sauter de la besace de la femme et venir vers Charlie. Il souri, et enleva son écharpe; pour que le chaton le voit. Puis le caressa doucement. Il entendit la furie rousse dire quelques mots perdus. Pour la rassurer il plongea son regard doux dans le sien, calme et posé, ajoutant la parole au regard:

"Je m"appelle Charlie. J"espère que vous ne vous êtes pas blessée, sinon, j"ai de quoi vous soigner"

Il désigna le sachet d"onguent à ces mots. Il sorti un petit bol, le remplit de lait de soja, et le mit sur son écharpe pour que le chaton boive à son aise. Il aimait les animaux comme ses frères et soeurs. Sachant ce qu"ils vivent et ressentent. Et ce petit félin voulait qu"on s"occupe de lui, il avait sûrement eu peur. Charlie souri, bienveillant.

Le filet de sang sécher sur sa tempe, conséquence de sa blessure à la tête répondait seul à la question. Nusiliteh détourna son regard de l'homme pour le reposer sur ''sa fille'' qui ronronnait allègrement aux caresses de l'inconnu. Sa respiration haletante semblait ce calmer, mais son pouls restait en accéléré, le danger avait beau être passer, cela ne changeait pas le doute en elle même.

Une force de la nature! Lili avait toujours été une de ces personnes ce fichant éperduement des gens, les ignorants et les écrasants au besoin. Elle n'avait besoin de personne! Et étrange ironie, malgré son orgueil démesuré, Nusi ce voyait forcé d'admettre que vu son échec pour rentré directement au camp de base de ses propres moyens, elle devrait avoir recourt a l'aide de ces gens qu'elle avait toujours méprisé...

Passant une main sur son visage, elle émis un ''mowmow'' doux, un song étrange, mais qui fit réagir presque immédiatement la petite boule de poil, qui roucoulant gambada jusqu’à sa maîtresse, montant a demi sur elle et collant son nez sur son visage. Un sourire triste éclaira celui de la femme qui pris l'animal contre elle, tout en lui caressant la tête.

- oui ma belle, maman est désolé, ca ne ce reproduira plus jamais...promis

Elle murmurait presque, baisant le front de la boule de poil dans ses bras. C'était un des rares instant de douceur que la Résistance connaissait chez elle, Furrye, ce chaton éternel avait un pouvoir sur la femme froide qu'était Nusiliteh.

Puis reposant la petite bête, toujours déboussoler mais rassuré, son regard devint plus autoritaire, méfiant...mais on pouvait y lire une interrogation plus que présente.

- Tu propose toujours ton aide au gens qui débarquent comme ca? c'est pas un peu...inutil? T'a pas peur qu'ils en abusent?!

Malgré la forme interrogative de ces phrases, on pouvait y décelé une légère pique insultante.

Charlie

Charlie vit le chaton repartir vers sa maîtresse et avoir un moment de tendresse. a dame rousse se releva et dit, de manière insultante si Charlie avait l"habitude, il répondit aimablement:

"Non, mais dans le désert, avec une femme qui vient de tomber de haut et qui pends plus soin d"un chaton que d"elle, je pense qu"elle n"abusera pas, et sinon... je n"ai pas à justifier non plus une bonne action"

Il se leva, prit son onguent et en mit sur sa main.

"Puis je vous en appliquer un peu, pour désinfecter et cicatriser. Du lait?"

Il resta face à elle. Attendant aimablement.

Elle était habitué aux ''fait ceci, fait cela!'' sans demande et sans question. Par reflex elle allait dire a l'inconnu de ce foutre sa proposition où elle pensait, mais ce retint, pinçant les lèvres. Elle détestait avoir de la compagnie, mais dans son état elle ne pourrait pas rentré immédiatement au camp de base, puisque ses transport instantanés semblaient être à plat. Elle n'aurait d'autre choix que de voyager, et puis bon...Furrye l’appréciait, putin mais ce chat la forçait a ce coltiner quelqu'un!

Elle emis un soupir amusé, frottant ses yeux, ricanant, rien de méchant mais ont aurait dit qu'elle vous crachait au visage.

- Tu es tout un phénomène toi, héhéhéhé, ne crois pas car je suis douce avec Furrye que je ne suis pas dangereuze, mais bon, si ca peut te faire plaisir, tu fais ce que bon te semble, Elle pointa sa blessur sur sa tête. Ca fait un mal de chien.

Le mot ''lait'' semblait avoir été compris par le chaton qui s'empressa d'ouvrir ses grands yeux vert-doré pour être plus mignon et avoir ce fabuleux nectar blanc dont sa ''maman'' le gavait malgré les conseils avisé d'un vétérinaire dans leur rang, avisant que ce n'était pas bon pour leur digestion. Mais bon, mettez une contrainte a Nusiliteh, et cette dernière n'en ferait qu'à sa tête!

Cette dernière jeta alors un regard aux alentours, ne reconaissant pas les lieux.

- On est où là ?...

Charlie

HJ- Attention BDM en approche-HJ

Le berger observa la demoiselle fielleuse, et dès qu"elle lui indiqua son front il lui caressa la plaie avec sa crème. Doucement, avec douceur. Un fois la crème bien pénétrée, il prit une coupelle, qu"il utilise d"habitude pour son herbe, et y versa une goutte de lait, la mettant sous le nez du chaton, elle demanda alors où ils se trouvaient, il mit un doigt à la bouche, et le leva:

"106.58° Oueeeeeeest et 65°Nord"

Il prit une clope, ragea sa coupole récupéra son matos, et lui tendit son écharpe.

"Puis je vous prêter cette écharpe pour que vous vous couvrieeeeeez la tête? C"est 100% pur laine de moi"

Il se préparer à marcher, en suivant la ligne qu"il a tracé mentalement... Il observa derrière lui, devant lui, derrière et devant et derrière....

*Meeeeeerde je viens d"où moi?*

Il observa devant et derrière... tirant sur sa clope... c"est fou comme une jolie rousse vous fait perdre la tête...

HJ- Bon excusez cette blague pourrie-HJ

hj: dsl du délais, c'est court aussi, mais je suis le moral miné d'avoir ecrit un super post mais qu'il aille été bafoué par l'ordi -_-

Furrye bien heureuse de l'attention qu'on lui offrait vint avaler le lait offert en ce plaignant, une sorte de « juste ca? » . Mais le chaton touffu, satisfait malgré le peu de quantité, fit de belle manière en remerciement, alors que sa Maitresse soupirait, qu'elle détestait les coordonés! Tout en le laissant faire son petit manège et appliqué la bouillasse peut attirante sur sa plaie, Nusiliteh ce demandait encore pourquoi elle tolérait la présence de l'inconnu. Surement, car elle en aurait besoin....

« besoin...dépendre...pfff! »

Pensait-elle alors que la proposition de l'écharpe faillit la faire pouffer de rire, mais pr respect elle ce retiens de justesse. Mais pourquoi diable ce comportait-elle si...anormalement? Est-ce que le paradoxe de son existence ce brisait? Acceptant tout de même la proposition, elle noua le tissus de facon rigolote, maladroite, on voyait bien que ce genre de précaution n'était pas courant avec elle.

Furrye revint en trottinant vers sa ''mère'', qui la caressant avec affection, la replaça en sécurité dans son sac en bandoulière.

- On est pas sur le bon coter du continent j'imagine, ce serait trop facile!

disait-elle pour elle même soupirante.

Charlie

HJ- Ce n"est pas grave, je te comprends tout à fait ^^ -HJ

Charlie la laissa se dépatouiller, ne s"occupant pas d"elle, prenant un chemin au hasard, vers ce qu"il lui semblait être le devant, vers l"herbe, la fraîche la douce. Là où il pourrait trouver de quoi se ressourcer avant de reprendre son chemin vers d"autres endroits inconnus et nouveaux. Il prit son bâton et avança, heureux comme un pinson. Il ne pensait pas, marchant comme on respire. Puis après trois pas il se mit à fredonner un petit air qui lui venait, comme le vent se lève, un petit air léger, comme une feuille d"automne qui tombe, comme un retour à la bergerie après une journée de pâturage avec Maya, la brebis. Une douce brise dans la laine, de l"eau qui perle au petit matin, ses frères et soeurs heureux de vivre simplement, en profitant de la vie. Une douceur montagnarde, chaleureuse et vivifiante. La nostalgie.... La meilleure des muses.

oh qu'elle détestait être ignoré! Mais sa surprise face a cette ''non-réaction'' de la pars de l'étranger partit d'un coup quand ce dernier ce mis a fredonner, si il y avait une chose que Nusiliteh adorait c'était la musique... Evidemment pas le genre que ce dernier semblait connaitre aux premier abord, mais lorsqu'elle s'exilait dans ses appartements de la résistance, elle avait toujours chanter et joué d'un quelqu'on que instrument pour adoucir ses propres moeurs. Elle le regarda avancer, sans faire un seul mouvement a son tour. Elle essayait de comprendre sa non-capacité à ce déplacé, les failles dans sa magie. Fermant les yeux une fraction de temps, elle sentit le flux d'énergie très faible en elle ce qui la fit soupiré. Elle avait atteint sa limite? c'était tout! Bon, alors pourquoi elle ce coltinait cet avorton frisé? Elle n'aurait qu'a reprendre des force et partit dès qu'elles seraient de retour!

Même si ce plan semblait fort simple, Lili savait qu'il y avait bie plus que cela...
Elle avait sauver la gamine face aux monstres de keshar, un peu plus tôt, elle avait eu peur... on aurait dit que l'humanité semblait imprégné ses moindres faits et geste, l'influencer...elle un objet?

Soupirant, elle ce mis a fredonner elle également, voulant remettre ses idées en place, laissant un large encart entre elle et l'inconnu, mais le suivant tout de même, agacer de dépendre de quelqu'un, agacer par ce soleil, agacer par tout!

- I was born and raised by the sea.. shy yet proud

Cela ne semblait qu'un petit murmure, qui grandissait, toujours bien bas, la beauté n'était pas dans sa voie mais dans l'étincelle de ses yeux, Nusiliteh aurait sembler être n'importe quelle adolescente de son âge, revant et esperant... Le contraste avec son attitude plutot était incroyable. Mais pourquoi ce mettait-elle a chanter? Peut-être quelle avait toujours peur et que es choses familiere devenaient rassurante?

- I learned to stay away from the crowned...in my home, my lighthouse...

Et elle continua ainsi un moment, frottant son bras droit de sa main gauche, on aurait dit une femme fragile et timide, alors qu'un volcan brulait en elle.

Charlie

Charlie fredonnait, quand il entendit la demoiselle chanter. Elle avait une belle voix,mais on la sentait grelottante, fragile, apeurée. Charlie était un grand mélomane, et cette petite voix lu faisait chaud au coeur, et froid dans le dos. Il ralentit un peu, trafiquotant sa cloche. Il la sortit de son bâton et commença à taper dessus en rythme, produisant un son de percussion mat. Il accompagna le rythme de la demoiselle, faisant un rythme rapide et enjoué. Il voulait lui rendre le sourire pour que sa voix résonne. ce soi, au coin du feu, il jouera de la guitare pour lui mettre du baume au coeur. Pour de long voyage, ménage ta monture.

"lal lalala lala la tiptap tap.... "

il hésitait à lui demande son nom... ça le démangeait, mais son respect pour le musique le tenait au silence de mort; si ce n"est en musique

- 10 000 steps round and down...

Sa voie fini par s'éteindre doucement, ne continuant pas son lancer. Capricieux, le chaton ce mis a miauler, bien au chaud dans son sac il aimait entendre sa maîtresse émettre ces sonorités particulière et il était déçu de ne pas entendre la suite de la berceuse quelle lui chantait pour dormir le soir. plus les minutes s'écoulaient, dans le silence brisé par l'étranger et sa cloche, plus Nusiliteh reprenait son aplomb, ne comprenant pas du tout ce qui lui arrivait. Elle était pourtant une femme farouche, un caractère de feu! Que lui prenait-il d'être aussi douce en ce moment? Songeuse, elle ne vit pas le temps passer alors que ses forces commençaient a lui revenir, ce fut la douleur qui la réveilla de ses pensés, lorsque des serre s’enfoncèrent dans son mollet droit!

Son sang ne fit qu'un tour, la main monstrueuse qui lui tenait la jambe, aussi douloureuse cela pouvait être, ce fit fusiller en un coup eclaire, sous les lamentations horrible de la créature, cacher dans uen marre de goudron noire.

- Fais gaffe...on est pas seul! Il pourrait y en avoir d'autre!

Dit-elle tout en rechargeant son magnum et etudiant le paysage, reprenant sa froideur habituel.

- Nusiliteh...Je m'appel Nusiliteh en passant! Ce sera plus simple que e dire ''hey toi! Chose, ou machin, et je te préviens JAMAIS ma jolie, compris?

Elle souriait malicieusement, alors quelle tira un autre coup en provenance de mouvement dans une des marres les entourant. Mais quel monstre pouvaient bien vivre la dedans!

Charlie

HJ- le temps s"est refroidit, je suppose-HJ

Aux parôles de la demoiselle, il enfourcha sa guitare, accorda en deux secondes, et joua une note, deux notes, vit une main, esquiva se levant la jambe et en écrasant d"un coup de talon.

"Meeeeeeerde respect pour la musique!!"

Il commença à jouer une intro, le metal s"accumulant autour de la guitare en bouclier, il joua tranquillement, se coupant de la réalité, et du monde, la musique enivrant ses gestes, ses sensations, son esprit. La musique lui faisait oublier la tristesse de ce monde, la peine des autres moutons, les morts. Rien dans la musique n"était aussi triste ou pervers, tout était magique. Une magie qui opérait et amenait le bouclier face a berger qui semblait prêt à tirer dès que quelque chose troublerait sa quiétude.

Mais quel monstre pouvait-il bien vivre la dedans hein? Elle eut sa réponse bien assez tôt alors que son compagnon faisait son ''petit numéro'' , amenant un certain sourire dédaigneux sur celui-ci. « trop voyant » ce dit-elle intérieurement tout en observant passivement et avec un calme effrayant la créature sortir de la mare.

La chose, ou les qui sait? ressemblait plutôt a un amas de goudron en mouvement, ayant vaguement la forme de bouche et de yeux. Ce spectacle pittoresque de la chose essayant de sortir de son trou fit presque pouffé Nusiliteh de rire, qui ne prit pas au premier abord la menace au sérieux. Mais elle aurait du! Malgré sa semblance, non 'tangible'' une nué baveuse fonça sur son bras, causant une grave brûlure et laissa une marque tel une main! Cette chose pouvait devenir solide donc!

Lili lacha une plainte douloureuse, une lueur de sadisme s'alluma dans son regard azuré, alors qu'elle fonça tête baisser et qu'un dernier moment, elle grimpa sur des marche invisible, comme si l'air devenait solide sous ses pieds, et passant par dessus la créature elle fusilla ce dernier... sans grand effet. SA surprise passé une autre main ce referma sur son mollet alors qu'elle etait toujours dans les air et la lança violalement plus loin. Surprise, que la créature puisse faire sortir un bras n'importe ou où il le désirait, la femme rousse ne put amortir sa chute et percuta avec violence le sol, beaucoup plus loin.

- j'vais..t'troué.... moi..
articula t'elle avec difficulté ce relevant avec misère.

Charlie

Charlie était en transe, et quand il senti la menace d"une chose informe, il tourna sa guitare vers elle, et commença à tirer par rafale attaquant un solo Hardrock tirant d"énormes salves dans la bête. Les balles partaient de la guitare à la vitesse de ses notes. Son corps était guidé par la musique, et il la guidait du bout des doigts. Chacune des balles atteignait la cible, mais les effets n"étaient pas visible par le mouton qui se contorsionnait en ondulait drogué par la mélodie. Le solo, son préféré, commencé, c"était vodoo child. Et plus il jouait ce solo plus il se sentait vivre, et répandait la mort.

Elle avait l'impression que tout les os de son corps avaient été réduits en poussières. Endoloris, la vision flou, elle ne bougeait pas et ses yeux fixait le ciel de la même couleur. Comme si le temps avait cessé sa course folle elle n'entendait pas le bouquant que provoquait l'homme-mouton ni si cela affectait le tas gelatineux qui l'avait mis dans cette situation. « j'arrive pas a croire... » cela faisait maintenant a 2 reprise que des blessures improbable la prenait au depourvus et la déroutait mentalement. Baissait-elle trop souvent sa garde? Elle commencait enfin a comprendre que son insouciance d'être immortel et de pliuer toute loie a son joug, s'éffritait peu a peu... et que si ses crainte de devenir aussi faible que n'importe quel humain s'averaient véridicte...son regard sur cette espèce changeait également.

Ce relevant sur ses coudes avec difficulté, les points noire devant ses yeux s'estsompèrent avec une lenteur agacante, avant que son champ de vision ne lui devoile la scene insolite. Elle soupira, le sballes ne faisaient rien a cette chose... il faudrait pouvoir la rendre solide! mais dans son etat, utiliser l'impossible comme credaux seraient désastreux, Nusiliteh ce teleporta rapidement, près de l'homme mouton, utilisant quelques dernières forces, et dit d'un ton dur.

- économise petit, ca ne sert a rien ...

presque aussitôt le monstre gélatineux sortit de sa marre et fit une seconde attaque vers le duo.

Charlie

Charlie sorti de sa transe aux premiers mots de nusi, aux second, la masse gélatineuse (gummy bear?) Lança une attaque sur nusi et Charlie. Ce dernier, n"écoutant que son courage, et sa compassion, se mit devant la demoiselle pour la protéger parce que, primo elle était blessée, deuxio, le chaton! Le coup fut puissant, et malgré toutes ses forces, Charlie s"envola plus loin. Il se réceptionna... mal, chutant sur le dos, esquissant une roulade arrière piquée (en se relevant aussi net). Il était sur ses pieds, un peu déboussolé, comme après un joint des badlands... Terribles ceux là! Nusi était seule face à la bête.... mais.. le chaton.. et elle pouvait faire vite.. mais la bête est grosse.... Mais elle est rousse elle n"a pas d"âme... (cette blague est financée par un blond vénitien, aussi dit, un roux!) mais une femme plus un chaton. Il devait faire quelque chose: il prit son bâton, et sprinta vers Nusiliiteh, lui attrapa le col de son bâton et reparti bille en tête, elle se rétablirai plus tard! Là, ils avaient un gummy bear mutant démoniaque aux trousses! Nom d"un castor venimeux de l"espace en short, ça roxe du poney! et ça rookie les poils de barbe...

HJ-prends ton temps et mp moi si tu as un empêchement, tu sais que je comprends -HJ

Qui sera la nouvelle victime? Messages : 4 Date d'inscription : 29/12/2012

hrj: Nouvel ordre de tour : Charlie-Nusi-Mj, donc Charlie tu es le prochain.

Une forte bourrasque ce leva, les débris étaient souffler avec une tel hargne qu'ils étaient de vraies projectiles volants. Nusiliteh et Charlie ce retrouvaient forcé de fermer les yeux pour ne pas être aveugler, mais d'où venait ce vent si soudain? La réponse ne ce fit pas attendre bien longtemps, cessant aussi sèchement qu'il était apparut, des bruits de pas retentirent autour du duo et lorsque ceux ci purent ouvrirent les yeux, une formation de 10 homme, armée jusqu'au dents les entouraient. Un de ceux-ci pointaient une arme dans le dos de la jeune femme rousse, tu ne les reconnais pas Nusiliteh? Ce sont des hommes de la résistance, qui, n'ayant pas eu de tes nouvelles depuis ton départ, te croit déserteuse!

Mais voilà que les armes ce tournaient également dans ta direction, Charlie, mais sauf cette situation si délicate, ou était passer la créature?...

? : Tu vas nous suivre docilement, pétasse, on a des comptes a regler
?2: Hey chef, on fais quoi de c'type?

Le premier cracha au sol dedaigneux.
?: flingue le, on en a rien a faire!

Charlie observa les inconnus.... Plus de bêtes... Plus qu"eux... Des êtres peu agréable, qui insultaient Nusiliteh et qui allait l"abattre, comme des chiens qu"ils sont, ils lui feront n"importe quoi. ça ne plaisait pas au bélier, surtout quand on parla de l"abattre... abattre, c"est comme un abattoir, et l"abattoir, ça lui foutait la haine. Il attrapa sa guitare, rien d"agressif, juste nonchalant. Il ne l"accorda pas, elle l"était encore. Il joua une complainte, très peu de notes, du grave, lent et froid. Le son résonnait dans l"âme des gens, comme un corde tendu qui vibre dans la poitrine.

Cette chansonnette n"était pas agressive, ni méchante, il ne tirerai pas, il se protégerai de devant... il demanda, simplement, avec gentillesse et douceur

*Nusiliteh, pouvez vous chantez doucement, une chanson lente.*

La phrase n"était pas une question, mais une demande. Si elle acceptait, ils seraient sauf, sinon, ça deviendrai plus tendu...

HJ- Le style est mieux? -HJ

- Vous oubliez? nah....tu t'fou le doigt dans l'oeil chéri, j'étais partit me balader en amoureux, comme tu peux le voir j'aime bien les troubadours!

La facon dont-elle avait cracher ces mots a l'homme dans son dos, avec une ironie et une haine non feinte était hallucinante. Sans peur, elle ce tourna pour lui faire face, le dardant droit dans les yeux, souriant de façon méprisante. Il enclencha son arme, prête a la criblé de balle, mais la femme rousse referma ses bras autour du coup de l'homme armé, agissant tel une sirène avec sa proie, aguisheuse, mais haineuse, puis elle dit a Charlie de loin.

- Ils ne peuvent pas nous tuer... Toi ils voudront t'interroger, et moi, ils ne peuvent pas ce passer de moi, pas vrai, monsieur-je-me-la-joue-mais-jai-rien-dans-mon-froque?

Joignant le geste a la parole, une de ses mains saisit le ''paquet'' solidement, ce qui aurait fait sursauter normalement n'importe quel homme, menaçant de broyer ce qui faisait de lui un homme.

- Charlie... laisse toi faire, ils ne tireront pas, c'est du bluff je les connais. dit toit qu'on va avoir droit a un tour de manège gratos...

Elle restait mystérieuse, tout en continuant de sourire impunément au soldat, qui faisait surement partit des ''soldats de plomb''.

- Hein, que vous ne lui ferez aucun mal? Après tout, vous êtes tous mes hommes, non? et puis, il pourrait faire office de ''radio'' ca détendrait l’atmosphère durant le ''vol? ''

Qui sera la nouvelle victime? Messages : 4 Date d'inscription : 29/12/2012

La melodie était à peine entamé que des railleries venaient de tout les bords, certaines ce moquaient lourdement, traitant l'homme-mouton de feluette, mais un silence de plomb tomba lorsque l'arme de la Résistance fit volte face et commença a scander des faits, pas tout a fait faux, mais pas tous vérifiables. Le soldat ''aux prises'' avec la dame, semblait bien excité par cette situation et sans politesse, empoigna les fesses de la femme d'une poigne de fer, alors que cette dernière lui saisissait le paquet, le faisait en effet sursauter. On pouvait deja sentir que cet abrutis armé n'était pas teinté de rose et était d'une belle vulgarité.

?: Mouais, ma jolie, si tu serais pas en état d'arrestation, j'me serais bien taper ton cul, ouais...
?2: Chef, nous devrions les amener et...
?: Arghh la ferme! Pas moyen de prendre du bon temps!

Il resserra son emprise sur le corps delicat de Nusiliteh, dans tes mains, nusi, tu pouvais sentir une pointe d'excitation durcir et grandir, qu'avait ce salaud en tête? En tout ca,s il ne semblait pas presser de partir immediatement contrairement a tes dires.

?: Amenez le caniche! Il devra subir un interrogatoire en règle! Il passa sa main droite dans la chevelure enflammé, empoigna plusieurs mèche rebelle sauvagement, menaçant de lui briser le coup, son haleine fétide remplis l'air.
Quand a toi, je te ferai subir une fouille en règle une fois au campement, capitche?

Sans que toi, Nusi tu ne pus réagir, soudainement il te fit faire volte face, passant des menottes a tes mains, un autre soldat fit de même pour toi Charlie, et ils vous amenèrent vers ce qui semblait être des disques métallique sur le sol, un homme, qui contrairement aux autres, n'étaient pas en habit de combat, activa la montre a son poignet, alors qu'une lueur bleuté vous englobaient doucement. On vous amenait a la Résistance!

hj: Faites vos réactions ici, sentiment etc, avant, je les attendrait avant d'ouvrir le prochain post.

Charlie vit les actes des résistants, ce qui lui aspira une colère si noire que sa laine devint grisonante. Ses cornes le démangeaient, il ne supportait ni qu"on touche une femme comme ça, ni qu"on n"apprécie pas la musique pire qu"on l"insulte. Quand on lui passa les menottes, se fut le summum, oser arrêter un musiciens en pleine complainte! Une insulte, un sacrilège!

Quand le petit montagnard vit la lueur il ne put s"empêcher d"avoir un mouvement de recul primaire face à l"inconnu. Un cauchemar. Les autres bovins allaient rire de lui, à coup sûr, mais bon. Venant d"eux, c"est comme se faire traiter de con par un con, pas agréable, mais drôle.

La familiarité du porc, car oui c'est ainsi que Nusi considéra cet homme, un gros porc moche avec aucun autre cerveau, que sa queue, lui donna un haut le coeur. Elle ne ce pliait jamais a aucune réglementation, mais elle était blessé, elle était épuisé, la journée avait été longue, alors elle ne fit que sourire, ce promettant qu'une fois au quartier général elle lui ferait la peau, surement demanderait-elle a Taisth de faire payer cet abrutis en faisant parcourir une belle rumeur dans les System informatique de la Résistance.

Elle ce laissa faire docilement, son regard bleu glacé fusillait cependant du regard tout ce qui vivait, on pouvait lire une détermination infaillible dans la diablesse qu'elle était. Qui subirait le plus les conséquences de ce retour au bercaille, elle ou le soldat impudent?

- je t'attend mon mignon!

Cracha t'elle alors que la lueur les englobaient tous et les ramenaient a la Résistance.